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mardi 23 juillet 2019

Display historique de Claude

Et nous continuons avec le display historique de notre ami Claude, des bustes et un piéton magnifiquement peints pour le blog et ses visiteurs.

Nous commencerons par ;

Le buste de l'Optio, Legio XX Valeria Victrix, Britannia, échelle 1/10 de chez Fer miniature.

La Legio XX Valeria Victrix (litt : XXe légion valeureuse et victorieuse) était une légion de l’armée romaine levée probablement par l’empereur Auguste vers 31 av. J.-C. Assignée d’abord en Hispanie tarraconaise, elle prit part aux guerres cantabres de 25 à 13 av. J.-C. avant d’être réaffectée sur le Rhin après le désastre de la forêt de Teutobourg en 9 apr. J.-C. Elle fut l’une des légions employées par l’empereur Claude pour l’invasion de la Bretagne en 43, elle y restera tout au cours des siècles suivants prenant part à la construction des murs d’Hadrien et d’Antonin destinés à prévenir les attaques des tribus calédoniennes.

L'optio est un grade de l'armée romaine et fait fonction de messager entre les décurions et les centurions. Il était choisi par le centurion.
L'optio est le second du centurion un de ses rôles principaux est de maintenir l'alignement de la centurie, il se tient à l'arrière de celle-ci et veille à ce que personne ne quitte la formation en prenant la fuite, il s'aide pour cela d'une hampe (hastile) décorée indiquant son rang.



Le buste du Signifer, Legio XX Valeria Victrix, Britannia, échelle 1/10 de chez Fer miniature.

Pour la petite histoire, voir le paragraphe de l'Optio si-dessus.
 
le Signifer ou signiferi (au pluriel), désigne durant l'antiquité le porteur d'un "signum" dans l'armée romaine. Il avait le statut de sous-officier, et tous les signiferi d'une légion se réunissaient dans le camp au même endroit et gardaient le trésor. Un sigtnifer se distinguait par le port d'une tête d'animal par-dessus son casque.
Durant l'époque dite manipulaire, il y en avait un par manipule, puis après la réforme de Caius Marius il y en avait un pour chaque cohorte et pour chaque centurie dans une légion. Tous les porteurs d'étendard et de drapeaux portaient ce nom avant l'époque manipulaire, puis "signum" ne désigna plus que le symbole d'une unité ensuite, les autres porteurs recevront des noms particuliers pour chaque étendard...

 


Nous continuons avec le buste du squelette d'un centurion, échelle 1/10 de chez Art Miniatures.

Sans commentaire....


et voici une autre période de l'histoire, le moyen-âge, avec ce qui suit ;

Le chevalier Arabe, buste de chez Young miniatures, échelle 1/10. 

L'équitation, l'hippologie, l'équipement des cavaliers… Mais son sens englobe également l'art de la chasse et de la guerre, le maniement des armes, les techniques de combat. Ainsi, paradoxalement, l'art de la furûsiyya a-t-il débuté bien avant la maîtrise du cheval, acquise par les Arabes au fur et à mesure de leurs conquêtes. L'idéal chevaleresque est en effet présent dès les premiers temps de l'islam, avec la notion de jihâd. Le combattant musulman se bat au nom d'Allâh, pour défendre son peuple et son pays ou pour propager sa foi. C'est le « petit jihâd » ; le grand étant celui que l'on mène contre soi-même. 

 


Pour combattre les Arabes au moyen-âge, rien ne vaut les chevaliers templiers. 

Voici un chevalier templier du XII siècle, 90mm de chez Pégaso modèl.

L’ordre du Temple est un ordre religieux et militaire issu de la chevalerie chrétienne du Moyen Âge, dont les membres sont appelés les Templiers.
Cet ordre fut créé à l'occasion du concile de Troyes, ouvert le , à partir d'une milice appelée les Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon, du nom du temple de Salomon que les croisés avaient assimilé à la mosquée al-Aqsa (bâtie, selon la tradition juive, sur les restes de ce temple). Il œuvra pendant les XIIe et XIIIe siècles à l'accompagnement et à la protection des pèlerins pour Jérusalem dans le contexte de la guerre sainte et des croisades. Il participa activement aux batailles qui eurent lieu lors des croisades et de la Reconquête ibérique. Afin de mener à bien ses missions et notamment d'en assurer le financement, il constitua à travers l'Europe chrétienne d'Occident et à partir de dons fonciers, un réseau de monastères appelés commanderies. Cette activité soutenue fit de l'ordre un interlocuteur financier privilégié des puissances de l'époque, l'amenant même à effectuer des transactions sans but lucratif, avec certains rois ou à avoir la garde de trésors royaux.
Après la perte définitive de la Terre sainte consécutive au siège de Saint-Jean-d'Acre de 1291, l'ordre fut victime de la lutte entre la papauté et le roi de France, Philippe le Bel. Il fut dissous par le pape Clément V le à la suite d'un procès en hérésie. La fin tragique de l'ordre mena à nombre de spéculations et de légendes sur son compte.



Autre période, autre guerre, le premier empire, avec ces soldats et uniformes de légende...

Le buste du sapeur des grenadiers de la garde impériale, échelle 1/10 de chez Nuts planet.

Le , un décret annonce officiellement la création des sapeurs de la Garde impériale : « il sera créé avant le 1er janvier 1811 une compagnie de sapeurs qui fera partie de la Garde Impériale et sera sous les ordres du commandant du Génie. Cette compagnie sera chargée du service des pompes dans les palais impériaux. »
À sa création, l'unité se compose de 139 hommes : 3 officiers, 15 sous-officiers et caporaux, 2 tambours et 104 sapeurs. 6 ouvriers et 10 conducteurs sont chargés du service des 8 pompes à eau placées à la suite du corps. Par la suite, l'effectif augmente à presque 400 sapeurs en 1813, puis à environ 600 hommes en 1814 sous la forme d'un bataillon. En 1815, pendant les Cent-Jours, seule une compagnie de 200 sapeurs est recomposée au sein de la Garde impériale. Le rôle civil des sapeurs de la Garde se limite au service des pompes à eau pour la sécurité incendie des palais impériaux. En campagne, le corps remplit les missions réservées au génie. 


nous clôturons ce chapitre, en remerciant Claude pour cet excellent travail de peinture.











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